L'imaginaire est sans limite.

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Aperçu d'une biographie par une étudiante de 17 ans.

Je m'appelle Lilou et j'ai à ce jour 17 ans. Je suis au lycée en terminale scientifique. Mais ça cela reste du formel. Donc commençons par le commencement, déjà petite je révais de faire de ma vie un rêve. Tout mon imaginaire était en éveil. J'habitais alors dans la région parisienne et ma seule préoccupation était de dire à mes parents que je voulais faire un trou dans le mur pour voir mon voisin et meilleur ami.

Franchement l'école ce n'était vraiment pas ma tasse de thé. Je la vivais comme un calvaire jour apès jour enchaînant les mauvaises notes. A cette époque, entre mes 6 et 10 ans je n'avais pas de cours de dessin à l'école, ni en dehors. Il y eu alors un énorme changement dans ma vie à mes 10 ans : un déménagement. Qui plus est, nous allions habiter un tout petit village du sud de la France. Ce fut comme un écroulement, nous allions vivre dans l'endroit le plus perdu. Pourquoi ? ça je n'en savais rien. Au final, ce changement a été trés bénéfique pour moi : j'ai découvert l'école sous un nouvel angle et appris à l'aimer, et c'est toujours le cas. Je me suis fait de nouveaux amis malgré ma timidité.

Le dessin n'était toujours pas entré dans ma vie mais quelque chose de semblable était déjà présent : la danse. Vous me direz que cela n'a rien à avoir. En fait ces deux activités présentent le même objectif : la possibilité de montrer ce que je ressens au plus profond de moi sans avoir besoin de le dire avec la parole.

J'entrais ensuite dans la plus sombre période de ma vie. Pour des raisons de santé, mes parents furent forcés de s'absenter de la maison l'un après l'autre. Comme j'étais à 10 ans la plus grande enfant, avec un frère et une soeur, j'avais soudainement plus de responsabilités, du moins c'est ce que je pensais. J'avais moins de temps à passer dans mon imaginaire qui aurait été à ce moment, la seule évasion possible.

Au fur et à mesure que ma vie avançait, je perdais l'habitude de me plonger dans mes pensées pour me concentrer sur le réel, pour aider les autres. Aujourd'hui je m'en rends compte : j'ai grandi et muri beaucoup plus vite que je ne l'aurais voulu. Mais finalement, cela m'a apporté énormément de choses.

Peu après, le dessin est entré dans ma vie. Il me permettait de laisser libre cours à mes pensées et cela a débloqué quelque chose en moi. 

A ce moment là, j'ai rencontré des personnes formidables, mes amis, qui ont réussi à me faire aller de l'avant. Ces personnes m'ont tiré vers le haut, m'ont permis de m'épanouir et de m'ouvrir.

à suivre...